• c'est l'histoire d'une jeune fille qui payait ses études grâce au Baby-sitting. Un soir, alors qu'elle gardait deux enfants, les parents ont étéphoner pour lui donner un numéro d'urgence. profitant de les avoir au bout du fil, elle leur demande si elle peut regarder le cable dans leur chambre puisque les enfants sont couchés.
    Les parents plutôt sympathiques acceptent, mais voilà que génée la jeune fille demande si elle avait la permission de mettre un drap sur la statue de clown qu'il y avait dans la chambre car elle la mettait mal à l'aise. Ils acceptent.
    Plus tard dans la soirée la mère repense à la requête de la jeune fille, "mais au fait! On n'a pas de statue de clown..."


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  • C'est l'histoire d'une petite fille qui passe devant une boutique avec sa mère. la petite voit une poupée et demande à sa mère de la lui acheter. la mère accepte, et le vendeur précise à la mère qu'avant d'aller dormir, il faut enfermer la poupée dans un placard, à double-tour. la première semaine elle enferma bien la poupée, mais un jour, la mère et sa fille oublièrent la poupée dans le jardin. la nuit, la petite fille entend " 1,2,3 je monte les escaliers, 4,5,6 je suis arrivée, 7,8,9 je suis derrière ta porte, 10,11,12 je suis dans ta chambre, 13,14,15 je sais ou tu te caches. La petite fille appela vite sa mère et lui dit ce qu'elle avait entendu. la mère lui dit que ce n'était rien et dit à sa fille de se rendormir.le lendemain soir, la poupée avait encore été oublié dans le jardin. la petite fille réentendu la petite voix et appela sa mère. sa mère lui dit que ce n'est rien, mais le lendemain matin, la mère va chercher sa fille pour l'emmener à l'école et là découvre dans son lit, recouverte de sang, avec la poupée qui tenait un couteaux.


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  • C'est l'histoire de deux jumelles de 4 ans et demi, leurs parents étaient parti en soirée et elles avaient reçu l'ordre de se coucher à 21h...

    21h passé les filles désobéissent et jouent aux cartes.
    22h, les filles regardent la télévision dans leur chambre. Soudain, elles entendent un bruit : "Tchik Tchik Boum! Tchik Tchik Boum!"

    La première fillette rassure sa soeur en disant que ce n'est que la machine à laver, elles continuent donc de regarder la télé... Mais le bruit persiste et devient de plus en plus intense : "Tchik Tchik BOUM ! Tchik Tchik BOUM !"

    Le bruit s'arrêta, et les fillettes commencèrent à paniquer... Elles se prennent dans leur bras, pleurant d'horreur... Elles entendirent un nouveau bruit : "Tchiiiiing!" et un bruit continu s'approche de leur chambre : "Rolrolrolrolrolrol" ....

    Les parents rentrent chez eux, lorsqu'ils entendent la télé, les Parents se précipitent vers la chambre des filles pour les engueuler. Il était minuit passé...

    Lorsque les parents entrent dans la pièce, Les murs étaient tapis de sang. Une mare de sang recouvrait le sol de la chambre... Les parents levèrent les yeux et, horreur : La tête des deux fillettes étaient suspendus par les cheveux au plafond. Les parents poussèrent un cri horrible et le père se précipite vers le salon pour appeler la police tandis que la mère était en pleurs, mais quand il allait sortir de la chambre, il remarqua avec horreur que le corps des petites filles, transpercées de toutes parts, étaient clouées a la porte... Le père, de plus en plus affolé, Court dans le salon et compose le numéro d'urgence... Mais la ligne a été coupée... Il va donc apprendre la nouvelle à sa femme... Arrivé à ses côtés, le couple entend le même bruit " Tching ! Rolrolrolrolrol... " Le couple, pris de déséspoir se prirent eux aussi dans les bras, et subirent le même sort...

    Un jour, la grand mère des fillettes vient rendre visite à leur petite fille préférée, elle sonna une fois, deux fois, trois fois, personne répondit... Elle fit donc le tour de la maison et remarqua qu'il y avait du rouge sur la fenêtre de la chambre des filles. Elle se précipita donc vers la porte de derrière qui était ouverte et monta les escaliers... par la porte entrouverte, elle put remarquer les têtes des filles pâle comme la mort, presque en décomposition, du sang séché qui tapit toute la pièce, les parents coupés en morceaux et disposés un peu partout dans la pièce, la grand mère entre dans la pièce, son portable à la main et glisse sur un foie... La Grand mère n'avait même pas la force d'appeler la police, elle lâche même son portable. Elle réalise qu'elle a perdu tout ce qu'elle avait de plus cher au monde... Elle a accumulé tellement de peine qu'elle eut une crise cardiaque et tomba des escaliers... La Grand mère est morte, elle aussi.

    Sur la télévision des enfants, on peut entendre au JT :

    [i]Le Psychopate qui s'ést échappé de l'asile psychatrique est toujours en liberté. S'il vous plait, restez vigilants et verouillez vos portes. Ne laissez surtout pas vos enfants sans surveillance. Une equipe de police se lance à sa recherche.[i]

    La police n'a retrouvé la pauvre famille que deux mois après le meurtre, et le Psychopathe en question est toujours en liberté.

    En vérité, le Psychopathe est en fauteuil roulant. Il est entré par la porte de derrière, et comme il pouvait pas monter les escaliers en fauteil roulant, il est monté avec l'appareil avec ses coudes. Il a roulé jusqu'au débarras, où il s'est saisi d'une scie, d'un tournevis, d'un martau, de clous et de sécateurs.

    Et c'est ainsi qu'il a tué la famille qui n'avait pourtant rien demandé.
    C'est sûrement la lumière venant de la chambre des enfants qui l'a attiré. Si elles avaient obéi et se seraient couchés à 21h comme leurs parents lui avait dit, tout le monde serait vivant.

    FIN


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  • Stéphanie ferma la porte d’entrée et remit ses clefs dans sa poche. Elle se retourna et observa quelques instants le couloir vide devant elle : Ils n’étaient pas rentrés. Ses parents avaient voulu passer le samedi soir « entre eux » à l’extérieur, et l’avaient prévenu qu’ils rentreraient tard. Elle en déduit qu’ils ne devraient pas revenir de si tôt : Il n’était que vingt-deux heures trente.

    Stéphanie regardait avec regret cette maison vide, elle s’était imaginé que sa soirée durerait un peu longtemps : Le cinéma avec Cédric c’était bien… mais elle aurait voulu passer plus de temps avec lui. Elle l’avait rencontré deux semaines auparavant lors de la fête qu’elle avait organisée pour ses dix-sept ans : Il lui avait bien tapé dans l’œil, et visiblement cela était réciproque… même si ce soir il n’avait pas insisté pour rester un peu plus avec elle.



    Ne sachant trop quoi faire, elle monta clopin-clopant l’escalier : De toute façon j’en passerai d’autres soirées avec lui… la prochaine fois je lui demanderai d’aller boire un verre… rrahhh ! c’est dommage, pour une fois que je n’avais pas les parents sur le dos !

    Arrivée dans sa chambre, elle repoussa la porte de la main, pendant qu’elle se refermait, elle envoya sa veste sur le dossier de sa chaise, et se laissa tomber sur son lit, allongée sur le dos. Le claquement de porte fit alors place au silence : Elle regardait le plafond, occupée à se remémorer la soirée, à se demander ce qu’elle ferait demain, à penser à ses prochains rendez-vous avec Cédric ou ses copines... sûrement qu’on l’appellerait demain pour passer le dimanche après midi à quelque chose de mieux que de rester enfermé à la maison… Au fait, on l’avait appelée ce soir ? Elle s’assit sur son lit, saisit le bas de son blouson, fouilla dans une des poches et en sortit son téléphone portable.



    Ah oui ! il est éteint. Je l’avais coupé au début de la séance de cinéma… j’ai oublié de le rallumer tout à l’heure. Bah ! c’est pas important, de toute façon personne n’a dû m’appeler ce soir… elles doivent être toutes à s’amuser... elles… et moi qui suis là toute seule... pfff... Ah, si ! J’ai eu des messages sur mon répondeur… hein ? huit ? Ben ça fait beaucoup quand même ! On cherche sûrement à m’appeler depuis tout à l’heure… hé, peut-être que je ne vais pas croupir ici ce soir finalement ! Fébrile à l’idée d’aller retrouver ce soir ses amies, elle appela sans attendre sa boîte vocale.



    « Veuillez composer votre code secret puis tapez dièse.

    ...

    Vous avez... HUIT… nouveaux messages »

    Elle avait donc bien eu huit messages, au moins là elle en était sûre, mais qui donc aurait bien pu l’appeler huit fois ce soir ?

    « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT CINQ… MINUTES…

    - Quoi ! » s’étonna Stéphanie, stupéfaite. Elle regarda sans attendre sa montre pour s’assurer qu’elle ne se trompait pas sur l’heure : Il était vingt-deux heures trente-quatre.

    Bon dieu, huit appels en neuf minutes ! C’est insensé, pourquoi on chercherait autant à me joindre… à moins que… j’espère qu’il n’est rien arrivé de grave… Ce serait terrible si…

    Elle fut interrompue dans sa réflexion par le message qui commençait.



    Au début elle se demanda si son téléphone fonctionnait correctement, mais il marchait puisqu’elle venait d’entendre distinctement la voix de la boîte vocale. Le son était étrange, comme un froissement de linge au vent suivit d’un bruit sourd, le son se répétait, régulier… comme le bruit d’une machine à laver, comme un tourne disque arrivé à la fin du quarante cinq tour. Le son paraissait si froid, si répétitif « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM ». Pendant les premières secondes, elle ne trouvait pas de quel son il pouvait s’agir, puis le bruit d’une voiture lui fit comprendre qu’on l’appelait de la rue. Du même coup tout lui parut évident : On l’appelait par erreur ! Le portable devait être dans la poche, le clavier n’était pas verrouillé, et l’appui des touches avait finit par appeler un numéro du répertoire du téléphone… et c’était tombé sur elle.

    Amusée, elle se prit à écouter le message : toujours ce bruit mécanique, répétitif, le son des voitures, et aussi celui du vent : C’est vrai qu’il ne faisait pas très beau en ce soir d’octobre, et en sortant du cinéma le vent commençait déjà à souffler. Le son en était ici assez angoissant, comme une longue plainte fantomatique, un « oooooouuuuuuuhhhhhhh » qui lui rappelait les soirs de grand vent pendant lesquels ce dernier émettait sa complainte par le foyer de la cheminée du salon.



    « Fin du message »

    Le brusque retour à la voix de la boîte vocale la surprit. Le message s’était coupé d’un coup, sûrement dû à un nouvel appui accidentel sur la touche d’appel. Ce ne fut pas la brutalité du passage qui la surpris, mais plutôt le fait d’entendre cette voix féminine, calme et posée, qui contrastait tellement avec le bruit mécanique de la marche, mêlé à celui des voitures, et du souffle du vent sur le micro du téléphone. Elle ne s’en était pas rendu compte lors de l’écoute du message, mais ce son était au fond assez sinistre.

    « Tapez 2 pour effacer, 3 pour réécouter.

    ...

    Effacer ».



    « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT SEPT… MINUTES… »

    Le message était quasi identique au premier : Toujours ce bruit, répétitif, monotone, qui devenait pour elle un peu angoissant, plus pesant que précédemment.

    Et puis il va y en avoir encore six comme ça ?... Eh bien... Super ! Mais de qui ça provient ? Qui c’est qui m’appèle à la fin ? Voulant passer au prochain message pour que la boîte vocale lui fournisse le numéro de l’appelant, et ayant assez entendu ce bruit, elle coupa le message sans attendre.



    « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… VINGT HUIT… MINUTES… »

    Mais la boîte ne donnait pas de numéro, elle aurait dû formuler normalement un « message provenant du ... ». Elle se rappela que sur les deux premier messages on ne lui avait pas signalé le numéro. Elle en déduisit que l’appelant avait sûrement choisi que son numéro soit masqué aux personnes qu’il appelait : Sur le portable de Stéphanie le message « numéro privé » s’affichait quand une personne ayant cette option lui téléphonait. Elle fouilla dans sa mémoire pour trouver qui elle connaissait dans ce cas-là. A peine elle avait commencé à réfléchir que le message débutait, et le son lancinant reprenait. Un peu plus à chaque fois, il intensifiait en elle un certain malaise.

    Le son répétitif s’arrêta. Le hululement du vent prenait plus d’importance en l’absence du bruit assommant produit par la marche, elle entendait toujours les voitures passer. La personne était toujours dans la rue et venait de s’arrêter, elle n’entendait plus rien d’autre que le vent et les voitures. Que fait-il ? Ou bien que fait-elle ? pensait Stéphanie. Il est peut être en train de regarder quelque chose ? de s’arrêter pour allumer une cigarette ? ou alors juste pour prendre un peu le temps de flâner ? Tout cela la rendait de plus en plus curieuse… en même temps elle ne se sentait pas très bien, gênée d’entendre une autre personne à son insu, et aussi tout simplement parce que le bruit de la marche à travers le micro du téléphone dans la poche était sinistre !

    Puis le désagréable son de marche reprit et commençait franchement à l’apeurer : « schrrr frrr chrrr BOUM… schrrr frrr chrrr BOUM… ». Elle continuait d’écouter le message, le bruit des voitures semblait diminuer : Est ce qu’il rentrait dans un lotissement ? est ce qu’il allait dans une plus petite rue ? Finalement tracassée par ce côté « voyeur malgré elle », elle coupa le message et passa au suivant.



    « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE… MINUTES… »

    Le message était toujours le même : toujours ce bruit répétitif et morne. Mais elle n’entendait plus le bruit des voitures, la personne devait sûrement s’être engagée dans une petite rue. Agacée par le son, elle coupa le message.

    « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEUR...

    BIP BIP... BIP BIP»

    Surprise par le son elle mis le téléphone face à elle : Comme le signal sonore l’avait indiqué, elle venait de recevoir un message... La personne continuait à l’appeler par erreur.



    Elle remit le téléphone à son oreille, et fut surprise d’entendre assez distinctement le miaulement d’un chat. Elle n’entendait toujours aucun bruit de voiture, juste le bruit et le vent. Puis, le son se transforma quelque peu, elle percevait comme un écho, la personne était peut-être dans une cour, ou dans une petite ruelle étriquée. Le bruit répétitif se fit de plus en plus lent, puis s’arrêta, c’est alors qu’à sa grande surprise elle entendit des gémissements. Ces derniers étaient plutôt faibles, mais elle en était sûre, elle entendait quelqu’un gémir au loin, c’était une voix féminine, mais elle avait du mal à l’entendre. Encore plus que les pas, ces gémissements la mettaient mal à l’aise.

    Le bruit de la marche reprit, mais lentement. Le volume des gémissements augmentait : Il ou elle s’approche d’elle… est ce qu’elle est malade ? pourquoi elle gémit comme ça ? peut-être il ou elle est de sa famille ? Stéphanie s’embrouillait dans toutes ces interrogations… Elle avait peur, de plus en plus peur de ce qu’elle entendait, mais tout cela l’hypnotisait, elle voulait suffisamment savoir ce qui allait se passer pour ne pas raccrocher.



    « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE ET UNE… MINUTES… »

    Le vent soufflait toujours, les pas avaient cessé, les gémissements continuaient, ils étaient très forts maintenant : Stéphanie en déduit qu’il ou elle devait se tenir devant la femme. Etait-ce sa mère ? peut-être que oui… ou peut être que non, elle ne savait plus très bien. Elle se sentait fébrile et à la fois mal à l’aise d’écouter tout cela à leur insu.

    Elle fut vraiment inquiète quand les gémissements firent place à des pleurs : Elle entendait distinctement la femme pleurer, à l’oreille elle aurait dit que la femme devait être assez âgée, dans la cinquantaine peut être. Mais pourquoi se mettait elle à pleurer ? Stéphanie serrait le téléphone à son oreille en tremblant : son bras, son corps frémissait, elle se sentait mal… elle avait peur de ce quelle entendait : Le son du vent, les pleurs, et auparavant le son des pas l’avait fait plonger petit à petit du trouble vers l’effroi. Mais elle ne voulait pas raccrocher, elle voulait savoir, elle voulait entendre la suite.



    « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE TROIS… MINUTES… »

    Les pleurs redoublaient, elle avait de plus en plus de mal à continuer d’entendre cela. Brusquement un bruit effréné de frottements se fit entendre avec force, ils furent très vite accompagnés de bruits secs et sourds. Ce fut surtout les cris de la femme qui terrorisèrent Stéphanie. Elle hurlait, elle souffrait… le bruit sourd qu’elle entendait maintenant, elle le compris vite, était assurément le bruit des coups qu’il ou elle infligeait à la vieille femme.

    Stéphanie était pétrifiée par ce quelle écoutait et ce qu’elle pouvait en conclure. Elle restait assise sur son lit, ne sachant que faire, tout se mélangeait dans sa tête, tout cela était tellement inconcevable : Elle était en train d’entendre, avec une poignée de minutes de retard, quelqu’un battre furieusement une vieille femme. Complètement paniquée, elle coupa le message.



    « Aujourd’hui à VINGT DEUX… HEURES… TRENTE QUATRE… MINUTES… »

    Ca n’en finira jamais ! se disait elle en entendant l’annonce du prochain message. Elle faillit éteindre son téléphone, mais elle ne le fit pas… peut-être pouvait-elle en apprendre plus ? peut-être qu’elle pourrait intervenir ? … elle ne pouvait se résoudre à raccrocher, elle ne le pouvait pas… elle ne le voulait pas.

    Rien que le début du message la pétrifia de nouveau : les frottements bruissaient toujours autant, les cris de la femme avaient fait place à des gémissements, le son des coups continuait à retentir… Elle entendait l’agresseur émettre de petits geignements, sûrement dus à l’effort monstrueux et infâme qu’il déployait : C’était la voix d’un homme… mais elle entendait encore mal le son. Ce fut progressivement que le sombre nuage de la terreur envahi Stéphanie à mesure que les bruits de la femme s’estompaient, et que les geignements de l’agresseur faisaient place à des mugissements de plus en plus forts… Progressivement elle reconnut avec effroi la voix de Cédric. Elle se rappela avoir eu des appels de lui : son numéro ne s’affichait pas sur son téléphone. Elle s’en souvenait bien car elle s’était dit qu’elle ne pourrait pas savoir quand il l’appellerai avant de décrocher. Son petit ami était donc assurément en train de battre une femme quelque part, peut-être qu’il la battait à mort… il la battait à mort : On entendait plus la voix de la femme, plus que les beuglements de Cédric et le bruit de ses coups sur le corps de la femme. Terrifiée, Stéphanie raccrocha, elle ne voulait plus entendre tous ces messages, tout cela était trop horrible, trop abominable, tout cela n’était pas possible, elle avait dû mal comprendre.



    La sonnerie de son téléphone, pourtant guillerette, la terrifia quand elle se déclencha. Elle était plongée dans ses tourments, ne sachant ni que penser ni que faire. La sonnerie de son téléphone lui fit l’effet d’une décharge électrique à travers le corps. Lentement elle ramena son portable devant ses yeux, sur l’écran, elle n’en était pas surprise, était indiqué « numéro privé ». Elle attendit une sonnerie, puis deux, elle était épouvantée. Puis presque impulsivement elle appuya sur la touche pour décrocher et colla promptement le téléphone à son oreille : Elle n’entendait plus de coups, elle entendait juste un bruit régulier de frottement, c’était tout… Stéphanie pleurait, elle imaginait la pauvre femme à moitié morte, Cédric la traînant par les pieds… Cette image dans sa tête lui était insoutenable, surtout accompagnée de ce sinistre son de frottement.

    Soudain, un grand choc se fit entendre, le volume en était si fort qu’il lui fit mal à l’oreille, et ajouté à l’effet de surprise, elle en décolla quelque temps l’appareil. Quand elle le rapprocha de nouveau, le seul son qu’elle entendit était celui du vent, bien plus fort que précédemment.

    Subitement elle entendit comme un grondement sourd mêlé de fracas. Puis d’un coup, elle entendit très distinctement de la voix de Cédric :

    « Stéphanie ? ».

    Prise par surprise, elle ne put réprimer un petit cri d’étonnement.

    « Putain Stéphanie ? Bon Dieu, qu’est ce que tu fais en ligne, merde ! MERDE ! MER ».

    Complètement abasourdie et terrorisée elle raccrocha aussitôt et éteignit son téléphone.



    Il m’a entendu crier ! mon dieu, il sait que j’ai entendu… A l’aide, pitié ! Qu’est ce que je peux faire ? Il va peut-être venir ici me chercher… me tuer ! Je ne peux pas rester ici, je dois m’en aller tout de suite, peut-être était-il tout près de la maison ? Oh putain, c’est horrible, je… je dois aller à la police… je dois partir d’ici… il faut que je prévienne la police !

    Sur ce, Stéphanie bondit de sur son lit, et se précipita à toute allure hors de la maison. Elle courrait vers le commissariat de la ville, qui n’était qu’à cinq minutes de sa maison.



    Mais elle n’arriva jamais au commissariat.

    On l’enterra une semaine plus tard, deux jours après avoir retrouvé son corps, ainsi que celui de la mendiante que Cédric avait battu à mort.


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  • C'est une jeune baby sister de 16 ans qui garde un bébé, pendant que les parents sont au retaurant.
    Elle lit tranquillement un livre pendant que le bébé joue dans sa chambre.
    Puis, 10 minutes plus tard, elle entend le bébé pleurer, elle va le voir et elle remarque des petites ciquatrices sur le visage du malereux, elle se dit que ça va partir dans 1 petite heure...
    Mais 20 minutes plus tard, il se remet à pleurer, elle va donc le revoir, et cette fois, son visage est couvert de sang!!!
    Elle regarde par la fenêtre de sa chambre et voit un clown bizarre avec un couteau dans sa main!
    Apeurrée, elle appelle les parents en leur disant:
    -Exusez-moi de vous deranger, mais il y a un clonwn qui me fait "coucou" avec un couteau dans la main...
    -Ce n'est pas une fenêtre qu'il y a dans sa chambre, c'est un miroir... ... ... ... ...



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